Antoine s’est rendu au Bugue avec la Darracq.
Chacun pose de bonne grâce à la terrasse du café Bernard.
La pâtisserie-confiserie G. Bernard est à gauche, dans le même immeuble. La maison fabrique : « des biscuits de Reims, des pâtes à thés, des croquignoles, des demi-lunes et toutes sortes de desserts assortis pour les soirées. » En 1906, chez Bernard, une brioche coûte dix centimes.
Au Bugue, comme ailleurs, le Byrrh rafraîchit sans débiliter et la liqueur des bénédictins de Fécamp assure la digestion.
Découvrir Le Périgord d’Antoine Carcenac : (photographies 1899 - 1920).