Au dos d’une affiche "Forchies-la-Marche, Miliciens de la classe 1884", une lettre adressée à "Ma chère Clémence" soulève plusieurs interrogations...
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Accueil > Articles > Chroniques familiales et aventures généalogiques
Dernier ajout : le 22 juillet.
Au dos d’une affiche "Forchies-la-Marche, Miliciens de la classe 1884", une lettre adressée à "Ma chère Clémence" soulève plusieurs interrogations...
Né à Condrieu, petite ville au bord du Rhône, en 1829, il y meurt à 77 ans en 1906...Entre ces deux dates, cet élève des Beaux Arts parcourt le monde, apprend la photographie. Devenu le photographe "officiel" de l’Empereur Maximilien du Mexique, il prend des photos de son exécution en 1867, clichés qui vont inspirer le peintre Edouard Manet pour son célèbre tableau. C’est cette vie riche et aventureuse que nous allons vous conter !
Comment et, surtout pourquoi, la naissance d’un bébé a-t-elle pu être déclarée deux fois, d’abord présenté à la mairie de Paris (14e) « de père indéterminé », par la sage-femme qui avait accouché la mère, Éliane DELAROCQUE, et, ensuite, le lendemain, présenté à la mairie de Clamart par Désiré HIVERT, qui "déclare s’en reconnaître le père", comme étant l’enfant de Marguerite SAINTINIENNE ?
Passionné d’histoire et de généalogie, j’ai publié dans cette gazette de nombreux articles prenant leurs sources dans mes archives familiales. J’ai franchi une nouvelle étape en effectuant un versement de celles-ci aux Archives Départementales du Rhône où vous pourrez les consulter.
Les trois guerres de la famille WOLF, des Juifs originaires d’Alsace : 1872, après la défaite, départ d’ Alsace pour rester Français et installation comme imprimeurs à Rouen. 14-18, les trois frères Wolf au combat. 39-45, persécution raciale des Wolf. Après la guerre,Pierre-René Wolf devient patron de presse.
L’utilité de la généalogie aujourd’hui au service des générations futures, ou quand la mémoire familiale trop ancienne, accentuée par une transmission uniquement orale, s’est déformée de génération en génération et altérant l’histoire au point de lui donner une toute autre version. Ce titre bien trop long, dont je suis plutôt fier mais qui est vraiment trop long, est en quelque sorte la réflexion que je me suis faite un vendredi soir.
Derrière la douceur et un amour certain pour ses enfants, petits enfants et arrières petits enfants, Anna Devos cache une existence vite devenue triste et austère. Pourtant rares étaient les jours où elle nous faisait part de sa tristesse. Laissez-moi vous raconter un peu de son histoire. Michel m’a été d’une aide précieuse car il a, sans que je le sollicite, cherché, creusé pour trouver des renseignements, des articles sur Jules et Maurice, mes deux Poilus, et d’autres ; là où je n’aurais pas eu l’idée de chercher... Sandrine.
Cette petite histoire se passe en 1916 à Tréogat (commune rurale du pays bigouden). A cette époque, il est bien dangereux de chasser dans la lande, près de chez un paysan républicain, surtout lorsque l’on est bedeau.
Au printemps 1914, lorsque Jeanne Dubois effectue ses devoirs d’écolière, elle ne s’imagine certes pas qu’un siècle plus tard la lecture de ses cahiers permettra de découvrir l’histoire atypique d’une véritable saga familiale. Mais qui était donc cette Jeanne Dubois ? Comment retrouver sa filiation avec un patronyme aussi courant ?
Le possessif s’impose, vous êtes tous les miens. Et une sorte de tendresse nait en moi envers certains de mes ancêtres, comme toi, par-delà les siècles, et par-delà vos disparitions.
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