Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
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Accueil > Articles > Chroniques de nos ancêtres
En partenariat avec Généanet , la rubrique Chroniques de nos ancêtres vous propose de découvrir des aspects variés, parfois insolites ou méconnus, de l’histoire et de la vie quotidienne de nos ancêtres à travers la présentation commentée de documents d’archives et de témoignages anciens, puisés dans toutes les régions et à toutes les époques.
Dernier ajout : le 16 novembre.
Voici un petit article dans lequel un Français se marie en Belgique (alors française) tandis que sa fille, née en Belgique, se marie en France, en 1830, avec un Anglais qui a combattu les Français à Waterloo !
En recherchant des actes, j’ai vu ce titre : avis aux réquisiteurs. Intrigué, j’ai lu avec intérêt ces quelques pages. Et j’y ai découvert un exemple surprenant du régime de la commende que l’on a pu appeler " le chancre rongeur de l’ordre monastique". Tout se passe dans le Jura, paroisse de Vosbles, entre 1722 et 1732.
Comment parler d’Histoire quand on n’est pas Historien ? Cette question s’est imposée à moi lorsque, au cours de mes errances généalogiques, j’ai découvert avec ahurissement la grande corvée royale. Celle-ci m’est apparue tellement anachronique, tellement démesurée et aux conséquences tellement importantes et irréversibles sur le mode de vie de la société rurale de l’époque, allant même jusqu’à perturber le long fleuve tranquille qui guidait depuis des siècles le cursus de nos généalogies personnelles…
D’archive en archive, dans le décor légendaire du pays de Brocéliande, Philippe Offrédic est parti sur les traces de Joseph Marie François Mênagé. Il nous révèle à l’appui de documents inédits, le destin exceptionnel d’un homme intelligent et opiniâtre, qui a osé tenir bon sa boussole de la Liberté.
En parcourant la généalogie de la branche paternelle de ma famille originaire du Sullias (région de Sully-sur-Loire dans l’Orléanais), je me suis intéressé à un couple de manœuvriers, Antoine THORET et Solange NOTTIN, ayant vécu dans la deuxième moitié du 18e siècle à Sully. Solange m’a paru être l’archétype de la femme de manœuvrier ou laboureur, petit propriétaire, de cette époque. Laissons lui le soin de nous raconter sa vie après une présentation de Sully et de sa région au 18e siècle.
En classant des papiers de famille, j’ai découvert un curieux jugement, effet direct et pervers de la loi de 1905 dite de séparation de l’Église et de l’État, le principal effet de cette loi étant de faire payer à l’ensemble des français, y compris les plus anti-cléricaux, l’entretien des églises, temples et synagogues sauf en Alsace et Lorraine occupées.
Depuis quelque temps Mireille était titillée grave par un questionnement obstiné : d’où viens-je ? Coïncidence ou appel du destin, une affiche dans la médiathèque de notre bonne ville de Saint-Hilaire de Riez invitait ses habitants à une exposition réalisée par l’atelier généalogique de l’association Histoire, Culture et Patrimoine du pays de Rié . Bien sûr, Mireille ne put résister au chant des sirènes et elle fut la plus enthousiaste de nos visiteuses, scotchée devant chaque panneau, hypnotisée par la moindre de nos photos centenaires, béate devant la graphie des actes exposés...
C’est) l’itinéraire de la vie d’Eugène THORET né à Orléans le 5 septembre 1877 et décédé à Alger le 5 février 1951. Né d’une très vieille famille de jardiniers orléanais, rien ne présageait d’un tel parcours. Comme ses ascendants, petits propriétaires, il était destiné à faire fructifier le petit héritage familial dans son lieu natal. Mais son destin en a décidé autrement. Aussi allons nous lui laisser le soin de nous raconter tout cela.
C’est l’itinéraire de la vie d’Eugène THORET né à Orléans le 5 septembre 1877 et décédé à Alger le 5 février 1951. Né d’une très vieille famille de jardiniers orléanais, rien ne présageait d’un tel parcours. Comme ses ascendants, petits propriétaires, il était destiné à faire fructifier le petit héritage familial dans son lieu natal. Mais son destin en a décidé autrement. Aussi allons nous lui laisser le soin de nous raconter tout cela.
C’est l’itinéraire de la vie d’Eugène THORET né à Orléans le 5 septembre 1877 et décédé à Alger le 5 février 1951. Né d’une très vieille famille de jardiniers orléanais, rien ne présageait d’un tel parcours. Comme ses ascendants, petits propriétaires, il était destiné à faire fructifier le petit héritage familial dans son lieu natal. Mais son destin en a décidé autrement. Aussi allons nous lui laisser le soin de nous raconter tout cela.
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